Qingcheng Shan
Deux voies s'offraient a nous pour gravir cette montagne sacree du taoisme plantee de dizaines de temples et de petits pavillons, la seconde etant doublee par un telesiege. Nous choisissons la premiere et quelques milliers de marches et des litres de sueur plus haut, nous tombons nez a nez avec un panneau ecrit en chinois et pas besoin d'etre bilingue pour comprendre que le chemin s'arrete la, a moins d'une demi-heure de marche du sommet. Nous redescendons a l'embranchement au pied de la montagne et prenons alors le dernier telesiege qui s'eleve dans la foret luxuriante.
Encore quelques marches et nous arrivons au monastere taoiste qui nous heberge pour la nuit dans une chambre au confort spartiate avec des toilettes minimalistes au fond du couloir et une bassine de plastique pour nous laver. Un repas gargantuesque, une promenade enchanteresque dans la montagne a present desertee et une bonne nuit de sommeil plus tard, nous redescendons en gardant le souvenir de ces petits chemins poetiques de dalles anciennes qui serpentent dans la foret et des rochers escarpes apercus entre les arbres qu'on dirait peints a l'encre sur une toile de soie...
Encore quelques marches et nous arrivons au monastere taoiste qui nous heberge pour la nuit dans une chambre au confort spartiate avec des toilettes minimalistes au fond du couloir et une bassine de plastique pour nous laver. Un repas gargantuesque, une promenade enchanteresque dans la montagne a present desertee et une bonne nuit de sommeil plus tard, nous redescendons en gardant le souvenir de ces petits chemins poetiques de dalles anciennes qui serpentent dans la foret et des rochers escarpes apercus entre les arbres qu'on dirait peints a l'encre sur une toile de soie...